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05 Jan 2016

L’idée d’écrire "L'envers de nos vies"…

Au départ, c’est la redécouverte du plaisir d’écrire des nouvelles, qui m’a motivé. Je n’avais pas encore l’idée de ce recueil. J’écrivais des nouvelles selon mon inspiration du moment, et sans savoir comment j'allais pouvoir ensuite les regrouper et si c'était vraiment possible.

En parallèle, j’ai commencé un long travail de développement personnel il y a trois ans, suite à un burn-out professionnel, et j’ai compris que la réussite, finalement, ce n’est pour moi qu’une affaire de bonheur personnel. Je ne parle pas d'égoïsme, mais d'authenticité : une façon d’être conforme à la personne que l’on aimerait devenir, meilleure que celle que l'on est et qui s'est souvent un peu engluée dans les différents rôles que l'on a appris à assumer au fur et à mesure des années.

Une façon de réaliser ses rêves. Tout simplement.

Nous sommes dans une société dans laquelle ce n’est pas sérieux, de rêver. Les rêveurs sont des marginaux. Il faut redescendre les pieds sur terre, et s’atteler à des tâches plus bassement matérielles : celles qui justement font les honneurs de la réussite sociale. Celle qui n'est qu'une illusion, puisque n'existant que dans le regard des autres.

Moi, je pense au contraire qu’il faut réhabiliter l’importance de nos rêves, car ils sont la manifestation de ce qui vibre en nous, de ce qui nous pousse à nous grandir, apprendre les différentes leçons de la vie, nous transformer et nous transcender.

Au lieu de refouler nos émotions, je crois qu'il faut apprendre à les écouter et comprendre à quel point elles sont représentatives de notre éloignement vis-à-vis de ces rêves qui nous sont si importants.

J'ai imaginé 3 groupes d'états d'esprit (les états dépressifs, les états de lutte, et les états positifs), comprenant chacun 3 états différents sur lesquels viennent se greffer différentes familles émotionnelles.

C’est cette théorie, qui m’a donné l’idée de ce recueil.

Ensuite, je me suis rendu compte que les 5 premières nouvelles que j'avais publiées pouvaient venir se greffer sur 5 échelons différents, et il ne me restait plus qu’à travailler sur celles qui me manquaient.

J’ai déniché des idées à retravailler parmi de vieux écrits personnels, et finalement, il ne m’en restait que 2 à écrire pour finaliser le recueil.

Comme je voulais rester au plus proche du ressenti, et que je suis quelqu’un de très sensible à l’émotion véhiculée par d’autres formes d’expression artistique, j’ai recherché des musiques qui pouvaient renforcer mes intentions en faisant office de transitions entre chaque nouvelle.

Par souci de respect des droits d’auteur, la solution que j’ai trouvée a été d’utiliser la plateforme Deezer.

J’invite mes lecteurs qui n’ont pas encore de compte ouvert sur cette plateforme musicale à en créer un. C’est gratuit. Et ils pourront ainsi accéder au contenu enrichi de mon livre, notamment s’ils le découvrent dans sa version papier puisque j’y ai recopié les différents liens, et inséré des flashcodes qui leur permettront d’y accéder directement (pour les moins novices d’entre eux) en se servant d’une application gratuite à installer sur leur Smartphone.

11 Dec 2015

L'auto-édition, c'est quoi ?

Afin de rapidement lever le voile sur certains malentendus, permettez-moi tout d’abord de rappeler ce qu’est exactement l’auto-édition (que l’on peut aussi écrire « autoédition »).

Lorsqu’un éditeur décide de publier un manuscrit, il lui est donné la possibilité de proposer à l’auteur deux types de contrat très différents :

• le contrat d’édition à compte d’éditeur, où l’éditeur se comporte comme un véritable producteur littéraire en proposant ce qu’on appelle un à-valoir (acompte délivré à l’auteur à la signature du contrat) et en assumant pleinement la part de risques liée aux dépenses nécessaires destinées à fabriquer et commercialiser le livre,

• ou le contrat d’édition à compte d’auteur, où l’auteur est alors plus ou moins clairement invité à participer aux frais de l’éditeur (avec souvent de nombreux abus recensés, pouvant aller jusqu’à l’escroquerie pure et simple avec disparition de l’éditeur dans la nature), et que les anglais appellent « Vanity Press » (une forme d’édition qui profite de la vanité des auteurs)

L’auto-édition, souvent confondue à tort avec l’édition à compte d’auteur, constitue pour un auteur une troisième manière de publier un ouvrage, en lui permettant alors d’endosser lui-même le costume d’éditeur.

Ainsi, pour la plupart des gens aujourd’hui, malheureusement, un auteur auto-édité, c’est un auteur qui a décidé de publier son livre tout seul sans rien demander à personne… et l’histoire s’arrête là.

Mais de la même manière que l’on différencie les bons éditeurs des mauvais en s’intéressant à ce qu’ils sont capables d’effectuer en plus du travail de publication, un auteur auto-édité n’est pas simplement un auteur auto-publié (son travail ne s’arrête pas à la publication).

UN AUTEUR AUTO-ÉDITÉ N'EST PAS UN AUTEUR AUTO-PUBLIÉ.

En effet, un vrai travail d’auto-édition consiste a minima à :
• écrire le livre (casquette d’auteur),
• le (faire) relire et le (faire) corriger (travail préalable d’édition),
• le publier (auto-publication),
• s’activer à le faire connaître (promotion),
• le mettre en vente (commercialisation),
• assurer son acheminement jusqu’aux lecteurs (distribution),
• puis écrire d’autres livres !

Et c’est justement dès le deuxième point que se construit toute la méfiance envers les ouvrages auto-édités : qui a fait, et comment a été fait le travail de relecture et de correction ?

Auparavant, toute maison d’édition sérieuse avait recours à trois correcteurs différents pour un seul manuscrit. Pour des raisons sans doute liées aux coûts que cela implique, cette précaution ne semble plus forcément être respectée. Des coquilles (pour utiliser un terme plein de diplomatie) se glissent en effet de plus en plus fréquemment parmi les nouveaux livres publiés. La version numérique du prix Goncourt 2011 (le roman d’Alexis Jenni, L’Art français de la guerre, publié par Gallimard) avait été publiée avec une bonne dizaine de « coquilles »… qui avaient été corrigées par les pirates eux-mêmes. (Inutile de relire cette dernière phrase, vous avez bien lu.) Par ailleurs, bon nombre d’entre elles, et notamment des fautes de conjugaison qui ne relèvent aucunement de l’emploi du subjonctif imparfait qui tend à devenir un peu obsolète, par exemple, figuraient également dans la version papier. J’imagine que de nombreux lecteurs se sont probablement étouffés en lisant des phrases comme « ils se rinçèrent la bouche de vin », « nous nous efforçions de vivre moins », « comment nous plaçerons-nous » (effectivement, c’est une question que peuvent se poser ces correcteurs qui avaient manifestement un problème avec la cédille), ou « à l’extrémité des ligne de transport » (oups, il manque un s), « ils mangaient des nouilles » (mais oui, bien sûr, mais estimons-nous heureux, on a échappé au pire si la coquille s’était glissée dans les nouilles), « tu ne va pas t’y mettre aussi » (à l’orthographe ?), « quand tout ceux qui ont vu » (je vois bien, oui !), « tu tourne le dos » (et moi je tourne de l’œil !)…

Oui, je sais, ça fait mal. Le mythe éditorial en prend un coup.

Mais je ne pouvais pas ne pas mentionner cette anecdote incroyable, qui permettra de réfléchir au degré d’exigence que l’on voudrait imposer aux auteurs auto-édités.

Car c’est évidemment sur cette brèche de la qualité orthotypographique que se bâtissent les meilleures argumentations, puisque oui, désormais, grâce à l’auto-édition, tout le monde sans exception peut effectivement publier (rendre public), n’importe quoi et n’importe comment, et ce d’autant plus facilement grâce à l’extrême rapidité des nouveaux moyens de publication numérique.

TOUT LE MONDE PEUT DÉSORMAIS PUBLIER TOUT ET N'IMPORTE QUOI. OUI.

L’auteur qui effectue le « choix » de l’auto-édition (est-ce vraiment un choix, l’enquête y répondra plus loin) prend donc le risque de faire passer ses ouvrages à l’arrière plan d’une audace qui sera généralement assimilée, dans le meilleur des cas, à de l’inconscience, ou alors, ce qui est probablement pire, à une formidable démonstration d’impertinence.

Car dans l’esprit collectif aujourd’hui, s’auto-éditer, ce n’est ni plus ni moins qu’un moyen de s’autoproclamer auteur.

Avec un livre auto-édité, on s’octroie un « titre d’auteur » un peu comme un dictateur s’emparerait du pouvoir par un coup d’état.

On n’est pas un « simple » blogueur qui publierait ses textes sur un blog.

Là, c’est différent. On touche à l’un des symboles de la culture (le livre), et ce qui pourrait faire office de sacrilège pour certains sera rapidement assimilé à un acte de vandalisme pour d’autres.

Avec un livre auto-édité, on s’introduit en plein cœur du royaume culturel par une entrée de service, sans invitation ni passe-droit, on se moque royalement des règles de bon usage, on se fraye un chemin parmi la meute du mieux que l’on peut, et on se couronne empereur de la littérature avant même que le moindre correcteur ait posé ses yeux d’expert sur la première phrase de l’ouvrage en question.

Ce portrait peu flatteur, qui ne manquera sans doute pas de faire sourire les principaux opposants à l’auto-édition, a pour but de reconnaître en toute objectivité qu’il peut y avoir effectivement, parmi les « auto-édités », des gens spécialisés dans la publication de contenus épouvantables, et chez qui le simple fait de « fer dis phôte d’ortograffe tout les trois maux » pourrait facilement être considéré comme une véritable déclaration de guerre à nos plus grands académiciens.

Mais derrière ces préjugés faciles, ces généralités désastreuses et ces caricatures grossières, je pense qu’il est temps d’élargir le débat à une prise en considération un peu plus juste d’un certain nombre d’auteurs plus sérieux, qui ont probablement toute leur place dans le monde des livres, et qui peuvent d’ores et déjà se féliciter d’avoir conquis un lectorat bien au-delà du cercle restreint de leur entourage.

Je crois en effet qu’il faut en finir avec cette croyance fausse et malsaine selon laquelle un auteur pourrait facilement s’imposer sur la scène culturelle avec un ouvrage absolument mauvais.

Les lecteurs peuvent-ils réellement manifester de l’intérêt pour rien ?

Au-delà des polémiques récurrentes au sujet de ce qu’est un bon livre, et si un livre commercial peut vraiment être considéré comme tel, ne doit-on pas laisser aux lecteurs le pouvoir de choisir les ouvrages qui leur correspondent le plus ?

Internet n’a-t-il pas au moins ceci de juste que les avis positifs ou négatifs se propagent impartialement de la même manière ?

Si un ouvrage honteux parvenait à s’extraire, comme par miracle, du petit cercle de connaissances de l’auteur lui-même, des avis plus objectifs ne se chargeraient-ils rapidement de reléguer ce torchon aux oubliettes du circuit de distribution ?

La vérité, c’est que :

ON NE DEVIENT PAS UN AUTEUR PARCE QU'ON PUBLIE UN LIVRE.
ON LE DEVIENT PARCE QU'UN CERTAIN NOMBRE DE LECTEURS L'ONT APPRÉCIÉ.

 

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Extrait de L'AUTO-ÉDITION POURQUOI COMMENT POUR QUI, Charlie Bregman

Disponible au format broché au prix de 9.50€

Ou en format numérique à 3.99€.

Toutes les informations et liste des points de vente sur ce site, sur la page consacrée à cet ouvrage :

http://charlie-bregman.iggybook.com/fr/l-autoedition-pourquoi-comment-pour-qui/

05 Nov 2015

NaNoWriMotion

#‎nanowrimo‬

Le 1er jour, tu veux écrire 10.000 mots d'un coup, whaou, tu as la patate, ton roman, qu'est-ce qu'il va déchirer...

Le 2e jour, tu te paies un jour de congé parce que t'es en avance...

Le 5e jour, tu te relis, et tu te dis putain, ils écrivent quoi, les autres qui sont toujours dans la course ?

Au bout de 10 jours, tu comptes tes mots tout seul, à la place du logiciel, ça prend plus de temps et ça te donne des excuses pour ne pas suivre le rythme...

Le 11e jour, tu tentes de te suicider en avalant la touche "Espace" de ton clavier (sans la croquer, évidemment, autant mourir en héros !)

Le 20e jour, toute ta famille est sans nouvelle de toi. Tu as disparu dans la nature pour te nourrir de déjections canines qui ont le pouvoir de te raviver l'inspiration.

Au 28e jour, tu reviens à la vie, tu nous ponds Guerre et Taies en 237.0000 mots non stop.

Le dernier jour, tu franchis la ligne d'arrivée avec un score d'un seul mot, mais le plus attendu, qui met définitivement un terme à ton calvaire : FIN. Tu jettes ton manuscrit dans un tiroir, et tu te brûles toutes les idées qu'il te restait en noyant ton inspiration dans un pub avec tes copains. Tu te paies toutes les putes de ton quartier en leur demandant de te faire crédit en attendant la livraison de ton jet privé, et tu t'offres 6 mois de repos bien mérité.

Le 1er juin, tu rouvres le dossier, et tu t'aperçois que tu t'étais gouré : sans touche "Espace", forcément, le score était exprimé en nombre de caractères.

Maintenant, le plus dur reste à faire : remettre un peu d'espaces dans tout ce bric-à-brac !

 

Allez. Courage !

#nanowrimo Jour 5.

Moi, ça avance... Et vous ?

01 Nov 2015

Le pitch de mon prochain roman

DIMANCHE 01 NOVEMBRE 2015 – 15 h. #NaNoWriMo

Pause au soleil…

Idée de fin affinée, plan restructuré, 8 premiers chapitres relus, corrigés et a priori définitifs.

+1021 mots. Prochain rapport dans la soirée… ;-)

 

Dans mon roman, on retrouve le personnage de Charlie quelques années après Vivement l'amour, qui se réveille en sursaut, en pleine nuit, le jour de ses 18 ans, à la suite d’un cauchemar.

Ses parents lui apprennent qu’il ne partira pas à l’école de cinéma dont il rêvait, mais à la HCS Academy, une école dont personne n’a jamais entendu parler, mais a priori réputée, d’après son père, pour fournir à ses étudiants les meilleurs atouts pour leur permettre de devenir des battants dans la vie.

Charlie n’a aucune idée de ce qui l’attend.

Il sait seulement qu’il n’a pas la moindre envie de devenir un battant, mais juste un homme libre… ;-)

 

À l’heure où j’écris ces lignes, Charlie se fait enlever loin de sa famille et de ses amis, et va enfin découvrir ce qui se cache derrière la « C.A.S.H. Academy »…

To be continued…

31 Oct 2015

Je me lance dans le défi du NaNoWriMo 2015

DIMANCHE 01 NOVEMBRE 2015 – 10 h.

Ça fait trop longtemps que je dois l'écrire, ce deuxième roman, que je trouve tous les prétextes imaginables pour fuir ma peur que les lecteurs ne soient pas au rdv, que je publie d'autres projets, que je me consacre à aider les autres pour ne pas m'aider moi-même...

Alors voilà, c'est parti, j'ai le cœur qui se réveille et les mots qui coulent dans mes veines, un personnage qui vibre, un destin qui l'appelle, je ne sais pas encore si je vais être capable de lui apporter tout ce qu'il attend, je ne sais pas non plus si je vais réussir à trouver l'énergie jusqu'au bout, mais je relève le défi de terminer ce roman à la fin du mois pour le publier avant Noël.

Je participe donc au NaNoWriMo 2015.

Je pars avec quelques chapitres définitifs d'avance (tricheur !) mais toujours avec le défi de plus de 50.000 mots avant le 30 novembre.

Je ne sais pas si c'est possible.

Je sais que certains pensent aussi que c'est impossible.

Mais ça me rappelle les charrettes de l'école d'archi, il y a vingt ans, quand les profs se faisaient un malin plaisir de nous faire refaire tout le projet une semaine avant le rendu. À chaque fois, c'était impossible. Mais à chaque fois, nous l'avions fait ;-) Pour obtenir nos certificats, la moyenne était à 12/20. À la fin de ma deuxième année, à cause de mon mauvais niveau en dessin, j'en avais 4 à repasser sur 8, tous manqués à quelques points seulement.

Tout le monde me disait que c'était impossible d'obtenir le diplôme. Tout le monde m'avait conseillé d'abandonner, tout simplement parce que c'était impossible.

Je suis une tête dure. Je suis resté. J'ai eu mon diplôme et suis sorti 6e de promo.

On ne réalise pas des exploits parce qu'on le peut : on les réalise parce que le rêve l'emporte toujours sur l'impossible !

C'est le thème de mon roman.

Ce sont mes encouragements pour tous les participants ;-)

 

Rdv ce soir pour un premier bilan.

Bonne journée à tous !

28 Oct 2015

Comment développer son imagination ?

17% des Français seraient l’auteur d’un manuscrit, publié ou non.

Écrire un livre fait partie des rêves personnels les plus répandus… mais que très peu de gens parviennent à concrétiser.

Pourquoi ?

 

Pour moi, pour mener un projet d’écriture à son terme, 5 bagages sont indispensables :

• une imagination riche et fertile

• l’envie d’écrire

• la maîtrise de l’écriture

• un engagement réel et régulier

• la patience de la réécriture

 

Mais peut-être pensez-vous ne pas avoir d’imagination ?

Si tel est le cas, je n'ai qu'un seul conseil : retrouvez votre âme d’enfant ! L’imagination, c’est le trésor de l’innocence. Le contraire de l’analyse et du jugement.

Si vous voulez développer votre imagination, il va falloir apprendre à lâcher prise. Accepter de laisser entrer l’inconnu en vous. Commencez par réapprendre à regarder ce qui se passe autour de vous sans chercher à le juger. Intéressez-vous à la diversité humaine, et cherchez à établir de nouvelles connexions, de nouvelles façons de la regarder.

Que savez-vous de l’éboueur qui s’active en bas de chez vous ? Où vit-il ? A-t-il une famille ? Pourquoi est-il éboueur ? Quel est son secret ? Votre voisine d’en face est danseuse à l’opéra ? Comment se déroulerait leur confrontation improbable, s’ils se retrouvaient coincés dans un ascenseur, tous les deux ? Se trouveraient-ils des points communs ?

Libérez votre imagination en l’obligeant à se confronter à des mondes que tout oppose en apparence. Une pratique fréquente d’exercices de ce style décuplera indubitablement votre potentiel à ce niveau.

 

Ensuite, saisissez toutes les occasions de développer votre créativité !

Créez vous-même vos cartes de vœux, vos messages d’anniversaire. Le célèbre designer Philippe Starck commençait ses journées en s’imposant un minimum de dix nouvelles idées sous forme de croquis.

Si vous avez des enfants, prenez le temps de jouer avec eux et de leur raconter des histoires ! Demandez-leur de vous imposer vos personnages. Y aura-t-il des sorcières, des fées, des dragons, des schtroumpfs ? Qui sera le plus méchant ? Quel sera son pouvoir ? Les enfants sont un excellent indicateur pour savoir si votre narration est ennuyeuse ou si vos rebondissements valent le coup. Ils ne tricheront pas. En participant au développement de leur imaginaire, ce sera votre imagination à vous, que vous solliciterez. D’une pierre deux coups… et tout ça dans l’amour familial. Que demander de plus ?

 

Enfin, relaxez-vous !

Allongez-vous confortablement sur le dos, dans un endroit calme, et faites des exercices de visualisation : les 7 couleurs de l’arc en ciel, les aiguilles d’une montre qui font le tour du cadran, sentez votre corps plus lourd, puis plus léger…

Grâce à ces exercices, souvent beaucoup plus difficiles qu’ils n’y paraissent, vous renforcerez votre capacité à vous concentrer, et la concentration est indispensable à une bonne maîtrise de l'imagination : « Sans concentration, l’imagination ne restera toujours pour vous qu’un cheval sauvage que vous ne parviendrez jamais à monter ! »

 

Quand écrivez-vous votre livre ?

20 Oct 2015

Comment écrire un e-book à vendre sur Internet ?

[Ce billet est un article invité d’Olivier Roland.]
 

Nous vivons dans l’ère de l’information, dans un monde dans lequel on peut tout obtenir immédiatement et sans délai.

La vente des e-books est devenue populaire, car ils sont facilement transmis, facilement stockés, et peuvent être lus partout, notamment sur un Smartphone dans les transports en commun.

Il est maintenant grand temps d’écrire votre propre e-book afin de réaliser, vous aussi, des profits.

 

Vous n’avez pas d’imagination, n’êtes pas doué pour la fiction ?

Et si vous écriviez des infoproduits ?

 

Petit récapitulatif des 5 conseils que le blogueur qu'on ne présente plus, Olivier Roland, présente sur son site http://www.des-livres-pour-changer-de-vie.fr.

 

1. Choisissez un sujet !

De préférence, choisissez un sujet qui vous passionne et sur lequel vous êtes intarissable. Pensez par exemple aux expériences de votre vie qui ont été particulièrement riches d'enseignement pour vous. Quelle leçon en avez-vous tirée ? Comment pouvez-vous la partager avec vos futurs lecteurs ?

 

2. Dressez un plan !

Si vous avez su écrire des dissertations au lycée ou au collège, vous pouvez tout aussi bien écrire un livre électronique. Décidez des grands thèmes que vous aborderez et notez quelques idées dans un journal, durant quelques semaines avant de commencer à écrire le livre.

 

3. Faites des recherches !

Tout comme pour la rédaction d’un simple billet de blog, vous devez imager votre discours de différents exemples qui soutiendront vos idées. Surfez sur Internet pour y lire d’autres articles qui vont dans le même sens que les idées que vous souhaitez développer. Trouvez les ressources qui aideront vos lecteurs, sur des forums, des articles et des blogs directement concernés par votre sujet. Enregistrez les liens vers ces sites pour plus tard.

 

4. Demandez l’avis de vos proches !

Demandez à vos amis, famille et collègues de relire votre e-book. Demandez-leur d’être très honnête. N’hésitez pas à écouter toutes les suggestions qui permettront d’améliorer votre livre. Corrigez les erreurs et apportez les modifications nécessaires.

 

5. Illustrez votre livre !

Ajoutez des photos à votre ouvrage. Par exemple, un pâtissier peut vouloir montrer des photos de ses gâteaux terminés, les étapes du processus de décoration, des photos d’ingrédients, sa participation à des concours et les prix qu’il a gagné… Si vous ne disposez pas de vos propres photos, utilisez des photos libres de droit que vous trouverez sur des sites spécialisés sur Internet. Tout comme dans les magazines, les photos rendent la lecture plus intéressante.

Lien : http://www.des-livres-pour-changer-de-vie.fr.

18 Sep 2015

Le numérique et la conquête des gens qui ne lisaient plus

Ce n'est que depuis l'automne dernier que j'ai redécouvert le plaisir d'écrire des nouvelles.
"Redécouvert" parce que c'est par le biais de ce genre très particulier que j'avais pourtant commencé à écrire, à l'âge de 13 ans. Notre professeur de français nous avait tous embarqués dans la lecture d'un recueil de nouvelles de science-fiction sur le thème des voyages dans le temps (*), et en fin d'année, elle avait invité ceux qui le désiraient à plancher sur ce thème. Pour la première fois, comme le devoir n'était pas noté, comme tous les conseils de classe étaient terminés, je lâchais prise sur les normes, les contraintes et la peur du hors-sujet, et je lui rendis une copie de 16 pages… qu'elle conserva :-)
(*) La grande anthologie de la science-fiction : Histoires de voyages dans le temps, le Livre de Poche.
 

Depuis plusieurs mois, donc, la nouvelle est un genre littéraire que j'explore dès que je le peux, dans une collection que j'ai dernièrement renommée Nouvelles évasions.

Après des nouvelles fortes en émotion, comme Amour impossible et Dernier élément, j'ai exploré un mélange de genres entre le polar et l'humour avec Une famille sans histoire, et renoué avec l'humour (un peu vache) avec Saint-Valentin premier cru.

Mais le contenu de ces nouvelles n'est pas l'objet de ce billet.
 

Pourquoi est-ce que la nouvelle est un genre intéressant pour un auteur ?

La nouvelle est un genre particulièrement formateur pour un auteur. Dès le début, elle l'oblige à ne se soucier que des effets qu'elle produira sur le lecteur. Impossible de n'écrire que pour soi en écrivant une nouvelle. Il n'y a pas de dispersion possible, pas de futilités autorisées. L'attention du lecteur doit être permanente. À aucun moment on ne peut se permettre de le laisser décrocher.
Dans un roman, ce n'est pas la même chose. On ne doit évidemment pas décevoir le lecteur non plus, mais la marge de tolérance est plus importante. On peut développer certains détails, se laisser aller au plaisir de la description ou se permettre certaines digressions, car les lecteurs habitués aux romans aiment vraiment lire. C'est un fait.
Et c'est là que la publication numérique change la donne.

Car la publication numérique ne s'adresse pas aux mêmes lecteurs.

Au delà de la petite guéguerre "livre papier" versus "livre numérique" qui ramène systématiquement le prétexte insolite de l'odeur du papier sur le tapis, je crois qu'il est préférable de simplement ouvrir les yeux sur le fait que les livres numériques amènent à la lecture des gens qui en étaient a priori dégoûtés.
Le système scolaire, avec tout son lot de lectures imposées, d'analyses de textes parfaitement indigestes pour les non-littéraires, a sans doute fait plus de mal à l'industrie du livre que de bien. Ça, personne n'ose le dire.
Et cela est encore plus vrai chez les hommes, car il faut le reconnaître, ce sont les femmes, qui lisent le plus.

Le magazine Livres Hebdo a publié à l'occasion du Salon du Livre de Paris en mars 2014, une étude exclusive intitulée "Les nouveaux lecteurs", réalisée par Ipsos et avec le soutien du cercle de la librairie.
En dehors du fait que l'étude annonce une chute de 5% du nombre de lecteurs en 3 ans seulement, il apparaît qu'il y aurait une différence entre le lecteur de livre papier et celui de livre numérique.
En effet, si le profil type du lecteur "papier" correspondrait à une femme âgée en moyenne de 46 ans et sans enfants de moins de 15 ans, le lecteur type "numérique" serait en revanche plutôt un homme âgé de 40 ans environ.

Est-ce exact ?

Ce que j'ai pu observer depuis que je me suis lancé dans l'autoédition sur Amazon, c'est que certaines personnes qui avouaient ne jamais ouvrir un livre de toute l'année sont finalement (re)venues à la littérature grâce à la lecture sur écran.

Et ça, c'est vraiment la bonne journée du jour (même si elle n'est pas du tirage de ce matin) !

Qu'il s'agisse de lire sur un ordinateur, sur une tablette ou un smartphone, tous ces découragés de la lecture ont finalement succombé à la curiosité de la lecture numérique, et ce, à mon avis, pour deux raisons principales :

- le prix tout d'abord : un livre numérique, surtout s'il s'agit d'un ouvrage auto-édité, est beaucoup plus abordable qu'un livre papier (sans parler de tous les ouvrages promotionnels gratuits)

- le format surtout : les livres numériques ont permis de relancer la mode du format court, ce qui peut attiser une certaine curiosité auprès des personnes à qui la simple idée de lire un roman de 600 pages donne des sueurs froides. En effet, au delà des petits guides pratiques en tous genres (partage d'un savoir, développement personnel, etc.) , le numérique a permis le grand retour des romans feuilletons (séries) et des nouvelles à chute…

 

En effet, à l'instar du petit écran, la série a de l'avenir devant elle. En autoédition, l'idéal étant de pouvoir vivre de ses écrits, publier un projet au fur et à mesure peut effectivement être une bien meilleure stratégie que de publier directement un premier roman de 500 pages. (Sans compter l'effet boostant d'avoir une deadline qui revient régulièrement pour la publication de chaque épisode).

Des auteurs comme Jean-Philippe Touzeau (auteur de la série "La femme sans peur"), par exemple, exploitent ce filon avec beaucoup de succès depuis déjà quelques années. On peut également citer la collection "Pulp" des éditions La Bourdonnaye, qui a recruté ses auteurs parmi des indés avec qui je suis en lien depuis plusieurs années : Marie Fontaine (Terra Divina), Chris Simon (Brooklyn Paradis)…

Pour ma part, si je n'ai pas exploité ce procédé de publication lors de la sortie numérique de mon premier roman "Vivement l'amour" en 2012, c'est malgré tout comme ça que je l'ai écrit, sur un blog, au rythme de 2 à 3 épisodes par semaine sans exception, quelques années plus tôt, tenu par mon engagement auprès de l'illustrateu Jepeh, avec qui je collaborais, mais surtout auprès de plusieurs centaines de lecteurs qui revenaient sur le site tous les jours.

Si vous le pouvez (en tout cas si vous vous lancez dans l'autoédition et que personne ne vous connaît encore, car une fois que vous avez acquis une certaine visibilité, les choses sont différentes), je vous invite donc à penser "série" dès le processus d'écriture… et de l'exploiter également au moment de la publication. Des sites comme Wattpad, monBestSeller, etc. permettent de partager gratuitement ses écrits avec une communauté de lecteurs assez conséquente. La stratégie est doublement intéressante : d'une part, vous pouvez corriger le cap ou peaufiner votre premier jet en fonction des réactions "en live" de vos lecteurs, et d'autre part, au moment de la sortie de votre livre, vous avez déjà un fan club prêt à vous suivre.
 

Bon à savoir pour un livre numérique qui s'adresse à des lecteurs qui n'aiment pas les livres papier : un bon livre numérique est un livre de 60 à 80 pages en moyenne. Pas plus.

Et si possible pas cher (genre 2,99 € pour le prix d'appel sur Amazon si vous voulez toucher 70% de royalties, ou carrément 0,99€ si vous tenez à vous faire connaître avant de toucher le pactole, car vous ne toucherez que 30% environ de la somme).

À partir de 100 à 120 pages, vous vous adressez déjà à des lecteurs plus expérimentés.

Si vous voulez toucher un lectorat nouveau, si vous voulez participer à la reconquête de ces lecteurs que le système scolaire a manifestement laissé sur le banc de touche, écrivez donc du court !

Le court est dans l'ère du temps. Tout le monde court après le temps, plus personne ne peut se permettre de perdre son temps. Si dès les premières pages, votre lecteur s'ennuie, il s'en ira. Si dès le départ, on lui annonce que le livre contient 700 pages, et surtout si c'est un homme qui aime le sport, les jeux videos, ou qui a du mal à trouver cinq minutes chaque jour pour prendre du temps avec ses gosses, alors une chose est sûre : votre livre n'en fera pas un lecteur !

 

Alors qu'est-ce qu'on fait ? On profite de l'autoédition et du format court pour conquérir un nouveau lectorat, ou bien on se cache pendant deux ans sans rien dire à personne pour revenir avec un bestseller de 700 pages qui sera propulsé par les fanatiques de lecture ?


Sources :
Le nombre de lecteurs baisse de 5% en 3 ans en France (Boursorama)
Étude IPSOS sur les nouveaux lecteurs
Infographie : comment les Français achètent et téléchargent leurs ebooks
Photo source YouBoox

12 Sep 2015

L'autoédité et l'idée de collection

En autoédition, écrire ne suffit pas, et publier non plus.

Nous aimerions parfois que nos textes soient reconnus pour ce qu'ils sont, qu'ils soient appréciés pour ce que nous y avons mis en tant qu'auteur. Mais hélas, cela ne suffit pas. Avant d'acheter un produit consommable, en grande surface, que vous en ayez conscience ou pas, le packaging joue un rôle fondamental dans votre acte d'achat. Eh bien, pour les livres (et les ebooks peut-être même plus encore, puisque tout va toujours plus vite sur Internet), c'est la même chose !

La première chose qui séduit un futur lecteur qui ne vous connaît pas encore, c'est la couverture de votre livre.

Le titre, le résumé, tout ça, ça va venir après.

La première chose que le lecteur voit sur son écran, c'est votre couverture, en format timbre poste le plus souvent. Si cette dernière suinte l'amateurisme à plein nez, ça ne le fera pas. Vous aurez beau avoir passé vos nuits blanches sur la réécriture de chacune des plus belles tournures de votre nouveau roman, vous être infligé(e) des migraines insolubles à la recherche du meilleur titre perdu, avoir rédigé des dizaines de pitchs de vente tous plus concluants les uns que les autres, avec votre couverture qui rebute le client au premier coup d'œil, l'achat ne se fera pas.

Je trouve qu' il est extrêmement difficile, en tant qu'auteur, de réaliser cette part de travail que les éditeurs confient généralement à des graphistes… parfois bons, parfois moins bons, et parfois, on se demande même comment c'est encore possible, vraiment pas bons du tout (ou alors ils sont fictifs).

Évidemment, « une belle couverture », ça fait appel à la notion de subjectivité. Certains trouveront une couverture séduisante, tandis que d'autres y resteront insensibles. Qui a raison, qui a tort, ça, ce serait vraiment du temps perdu de chercher à en débattre.

Certains, par exemple, n'aimeront pas la couleur rouge de mon titre, tandis que d'autres leur rétorqueront « Mais vous avez rien compris ! Elle est géniiiiiiale, cette couleur rouge ! » (laissez-moi rêver !) pour aussitôt couper court à toute espèce de fierté de ma part en complétant par « Ce qui ne va absolument pas, c'est l'image ! »

Ayons une petite pensée pour les publicitaires pour qui ce genre de débat relève du défi quotidien ! (Bref.)

 

En fait, je crois qu'à défaut de pouvoir le séduire, ce lecteur, il va d'abord falloir attirer sa curiosité.

Ce que j'ai voulu, en retravaillant sur les couvertures de mes nouvelles, c'était créer une idée de collection, faire en sorte que le lecteur qui tombe sur une de mes couvertures, se dise « Ah, tiens, c'est quoi, ça ? Toutes les couvertures se ressemblent et sont pourtant différentes, ce n'est jamais le même titre… Clic, je veux en savoir plus ! »

Évidemment, au moment où j'écris ces lignes (pour ne pas vous avouer l'heure qu'il est… Pff ! ces auteurs, j'vous jure, d'irrécupérables insomniaques !), comme je viens tout juste de terminer la mise à jour de mes publications, je ne sais pas du tout si ce changement sera efficace ou pas. Mais par contre, ce que je sais déjà, c'est que ces couvertures me plaisent beaucoup plus (à moi en tout cas), que les anciennes que je trouvais trop disparates et d'un graphisme trop amateur…

Est-ce qu'elles vous donnent l'envie de découvrir ce qui se cache derrière ?

Si oui, elles ont joué leur rôle.

Sinon, dommage, vous n'aurez pas le plaisir de savourer de bonnes chutes ;-)

 

Plus d'infos ?

==> Rdv dans les rubriques «Revue de presse » des titres concernés, sur ce site.
(Et pour "Saint-Valentin premier cru", comme il s'agit pour moi de la petite dernière, si elle vous tente et que vous désirez en faire une petite chronique sur votre blog – qu'elle soit bonne ou mauvaise d'ailleurs –, contactez-moi !)

Allez, hop !
Il est l'heure pour moi d'aller en tirer une autre, de couverture :-D

Bon dimanche !

10 Aug 2015

Partager ou dépérir, telle est la question…

Parce que nous avons tous quelque chose à partager avec les autres, un savoir, une expérience, une histoire, une compétence, une vision, etc., l'auto-édition fait partie aujourd'hui des moyens dont nous disposons pour apporter notre pierre à l'édifice d'un monde nouveau.

Sans qu'elle puisse remette en cause le travail des éditeurs, l'auto-édition s'adresse à tous, quel que soit l'âge.
Il est de plus en plus difficile, économiquement parlant, pour un éditeur, de miser sur un auteur inconnu. Aussi, l'auto-édition est sans doute une des meilleures stratégies à long terme pour se constituer un lectorat et gagner en visibilité auprès des éditeurs.

40% des personnes interrogées utilisent l'auto-édition dans une démarche de stratégie à long terme.

En fiction, l'auto-édition s'adresse à tous ceux qui aiment la liberté, qui ressentent le besoin d'écrire au-delà des codes et des mélanges de genres. De plus en plus nombreux sont les "auteurs hybrides", c'est-à-dire qui cumulent un statut d'auteur "indépendant" (auto-édité) et d'auteur traditionnel publié par un éditeur.

Mais l'auto-édition ne concerne pas que la publication d'œuvres de fiction.
Elle marque aussi l'émergence des infoproduits, des ouvrages dont la nécessité n'est plus à démontrer dans un monde où la quantité d'informations ne cesse de se multiplier d'années en années.

L'auto-édition, c'est une démarche en trois étapes :
- étape 1 : écrire
- étape 2 : publier
- étape 3 : vendre

Dans ce guide rédigé à partir d'une enquête menée auprès de 130 auteurs auto-édités depuis plus d'un an, vous trouverez les réponses aux questions essentielles que vous vous posez concernant les deux étapes 2+3.

http://charlie-bregman.iggybook.com/fr/l-autoedition-pourquoi-comment-pour-qui/

Pour ceux qui ressentent un manque de motivation ou de confiance en eux, ou qui ressentent un besoin de conseils pour mener leur projet d'écriture jusqu'au bout, il y a mon premier guide "Ecris ton livre"…

http://charlie-bregman.iggybook.com/fr/ecris-ton-livre/

Ne restez pas pétrifié devant de mauvaises croyances.
Savez-vous qu'écrire un livre fait partie des rêves les plus courants ?

Ne faites pas de la rétention de bien commun : vos idées, vos compétences et vos convictions ne sont pas faites pour dépérir à l'intérieur de vous.

Partagez-les !!!
 

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