Blog

05 Jan 2016

L’idée d’écrire "L'envers de nos vies"…

Au départ, c’est la redécouverte du plaisir d’écrire des nouvelles, qui m’a motivé. Je n’avais pas encore l’idée de ce recueil. J’écrivais des nouvelles selon mon inspiration du moment, et sans savoir comment j'allais pouvoir ensuite les regrouper et si c'était vraiment possible.

En parallèle, j’ai commencé un long travail de développement personnel il y a trois ans, suite à un burn-out professionnel, et j’ai compris que la réussite, finalement, ce n’est pour moi qu’une affaire de bonheur personnel. Je ne parle pas d'égoïsme, mais d'authenticité : une façon d’être conforme à la personne que l’on aimerait devenir, meilleure que celle que l'on est et qui s'est souvent un peu engluée dans les différents rôles que l'on a appris à assumer au fur et à mesure des années.

Une façon de réaliser ses rêves. Tout simplement.

Nous sommes dans une société dans laquelle ce n’est pas sérieux, de rêver. Les rêveurs sont des marginaux. Il faut redescendre les pieds sur terre, et s’atteler à des tâches plus bassement matérielles : celles qui justement font les honneurs de la réussite sociale. Celle qui n'est qu'une illusion, puisque n'existant que dans le regard des autres.

Moi, je pense au contraire qu’il faut réhabiliter l’importance de nos rêves, car ils sont la manifestation de ce qui vibre en nous, de ce qui nous pousse à nous grandir, apprendre les différentes leçons de la vie, nous transformer et nous transcender.

Au lieu de refouler nos émotions, je crois qu'il faut apprendre à les écouter et comprendre à quel point elles sont représentatives de notre éloignement vis-à-vis de ces rêves qui nous sont si importants.

J'ai imaginé 3 groupes d'états d'esprit (les états dépressifs, les états de lutte, et les états positifs), comprenant chacun 3 états différents sur lesquels viennent se greffer différentes familles émotionnelles.

C’est cette théorie, qui m’a donné l’idée de ce recueil.

Ensuite, je me suis rendu compte que les 5 premières nouvelles que j'avais publiées pouvaient venir se greffer sur 5 échelons différents, et il ne me restait plus qu’à travailler sur celles qui me manquaient.

J’ai déniché des idées à retravailler parmi de vieux écrits personnels, et finalement, il ne m’en restait que 2 à écrire pour finaliser le recueil.

Comme je voulais rester au plus proche du ressenti, et que je suis quelqu’un de très sensible à l’émotion véhiculée par d’autres formes d’expression artistique, j’ai recherché des musiques qui pouvaient renforcer mes intentions en faisant office de transitions entre chaque nouvelle.

Par souci de respect des droits d’auteur, la solution que j’ai trouvée a été d’utiliser la plateforme Deezer.

J’invite mes lecteurs qui n’ont pas encore de compte ouvert sur cette plateforme musicale à en créer un. C’est gratuit. Et ils pourront ainsi accéder au contenu enrichi de mon livre, notamment s’ils le découvrent dans sa version papier puisque j’y ai recopié les différents liens, et inséré des flashcodes qui leur permettront d’y accéder directement (pour les moins novices d’entre eux) en se servant d’une application gratuite à installer sur leur Smartphone.